Aimerais trouver une petite coque de noix ouverte, y mettrais un peu d’herbes fraichement coupées et je m’y allongerais, recroquevillée. Goutant à la caresse du soleil encore doux. Puis tout doucement, refermerais le couvercle, sans un bruit, étrangère au monde…
c’est ce que je vais faire, refermer la coquille le temps des vacances à l’abri du monde … trop curieuse, je lirai les gazettes … à bientôt !
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Une bogue où se protéger. Cela peut être n’importe quoi. Un livre tout aussi bien. Une évaporation du regard, plus loin que l’horizon. C’est toujours possible. Belles vacances, Corinnette !
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