Un attrape tout, un attrape rien.
Ne pas oublier ce qui pourrait ou devrait l’être.
Tout noter à l’encre noire.
dans le carnet noir.
Une tapette à souvenirs…Y accrocher en guirlande les cartes des uns, les lettres des autres. Le papier orange de chez Mollat.
Les rendez-vous à ne pas manquer, les livres à acheter, les expositions à aller voir… Y agrapher les billets d’entrée pour se rappeler. La vie n’est pas un roman. J’existe bel et bien et je l’ai fait, je l’ai vu.
J’ai aimé, je n’ai pas aimé.
Non, je n’ai pas rêvé. C’est arrivé un jour.
Ce carnet ne me quitte pas tout comme celui dans lequel je tricote l’inattendu.
Alors oui, j’avais noté il ya quelques temps ce rendez-vous et j’y serai demain après-midi…
Le papier orange… A quoi cela tient-il l’émotion, Corinne ? Me voilà encore avec elle, à te lire. Le marché de la poésie, tu y verras peut-être François, Salah y sera, lui, avec un nouveau livre à présenter, et puis d’autres, tous les autres… Embrasse-les pour moi!
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Place St. Sulpice j’aimais y rêver quand les mots ne venaient pas, pour laisser l’émotion redessiner un chemin pour les rêves. Je n’y serais donc pas ce 30 du mois; si loin hélas pour vous dire que votre attention à « la-joie-des-hommes-libres » m’est un joli cadeau échappé de votre carnet de « ronde et vous » Amitié, henri aram h***
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J’ai noté… noté que vous ne voulez rien oublier, vous souvenir de (presque) tout… Où serez-vous demain ?…
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Cet inattendu que tu tricotes, merci de le faire partager, à travers les mailles multiples de la vie.
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