Elle avance
Dans ce boueux
La pluie transperce sa pensée
En détrempe le sens
Il lui faut avancer
Cheveux collés
La vie est à ce prix
Elle surnage
Eaux troubles
La terre ferme écrase l’espérance
L’ancre dans l’instant
Marcher, marcher
Visage déformé
Acide hyalupresent
La vie s’efface
Elle avait imaginé
Elle pensait que
Cesser de…
Sans cesse….
Vivre sans.
Histoire d’eau qui déforme, transforme, reforme le paysage intérieur. Le chemin invente le chemin, la pensée tricote ses connections, remonte le courant. On ajuste à l’infini.
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Marche forcée comme unique issue. Je te souhaite un peu de soleil Bises Dan
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